Ivry-le-Temple

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Ivry-le-Temple
Ivry-le-Temple
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC des Sablons
Maire
Mandat
Catherine Herman
2020-2026
Code postal 60173
Code commune 60321
Démographie
Gentilé Ivriens, Ivriennes
Population
municipale
854 hab. (2021 en augmentation de 18,28 % par rapport à 2015)
Densité 68 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 13′ 46″ nord, 2° 01′ 51″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 126 m
Superficie 12,47 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chaumont-en-Vexin
Législatives 3e circonscription de l'Oise
Localisation
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Ivry-le-Temple
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Ivry-le-Temple

Ivry-le-Temple est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

La rue Principale

Ivry-le-temple est un village périurbain du Pays des Sablons dans le sud-ouest de l'Oise, situé à 8 km à vol d'oiseau à l'ouest de Méru, 20 km au nord-ouest de Persan (Val-d'Oise), 20 km au nord de Pontoise, 20 km au nord-est de Magny-en-Vexin, 19 km à l'ouest de Gisors et 22 km au sud de Beauvais.

Louis Graves indiquait en 1837 qu'Ivry-le-Temple était une « grande commune dont le territoire uni, connu Sein le nom de plaine-dorée à fume de sa fertilité, de forme à peu près ovale, a sa principale dimension de l'est à l'ouest. La Troesne grossie d'un ruisseau qui a sa source près de l'église, forme la limite du côté de Monts.
Le chef-lieu est disposé en une large et longue rue sur l'ancienne route du Gisors à Beaumont- sur- Oise; c'est ce' qu'on appelait autrefois Ivry-la-Commanderie ; quelques maisons groupée autour de l'église et au midi de la. grande rue, formaient Ivry-le-Temple ; ces deux sections , à cause de leur proximité, ne font qu'un seul village[1] ».

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Fresne-Léguillon, Hénonville, Monneville, Monts, Neuville-Bosc, Saint-Crépin-Ibouvillers, Senots et Villeneuve-les-Sablons.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est drainée par le Merderon, qui s'y jette dans le canal de Marquemont ou Troesne, un sous-affluent de la Seine par l'Epte.

Le Ru de Pouilly, qui limite à l'ouest le territoire communal, y conflue également.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 702 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Jaméricourt à 14 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Ivry-le-Temple est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (84,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (6,6 %), prairies (3,7 %), zones urbanisées (2,7 %), forêts (2,3 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 332, alors qu'il était de 295 en 2013 et de 294 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 92,7 % étaient des résidences principales, 2,6 % des résidences secondaires et 4,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 7,9 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Ivry-le-Temple en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,6 %) légèrement supérieure à celle du département (2,5 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80,3 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Ivry-le-Temple en 2018.
Typologie Ivry-le-Temple[I 1] Oise[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 92,7 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,6 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 4,7 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Ivry-le-Temple est desservi par la RD 105 et l'ancienne route nationale 323 (actuelle RD 923) qui donnent un accès aisé à l'autoroute A16.

En 2023, la commune est desservie par la ligne E du réseau Sablons Bus et par les lignes 6112, 6121, 6131, 6132 et 6144 du réseau interurbain de l'Oise[14].

Énergie[modifier | modifier le code]

En 2016, la création d'une installation de méthanisation de 8 gW/H est envisagée à Chemin de Méru à Ivry-le-Temple par la société Biometa, suscitant d'importantes protestations[15],[16]. Une nouvelle enquête publique sur les modifications du projet a néanmoins lieu durant l'été 2017[17], aboutissant à l'autorisation par la préfecture de l'Oise en novembre 2017 du projet, permettant de transformer chaque jour jusqu'à 60 tonnes de fumier et d'alimenter l'équivalent de 1 250 logements[18],[19].

Cette installation est, en 2021, en service[20].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La localité est attestée sous la forme latinisée Ivriacum en 1160, Iuriacum en 1186[21], Euriacum en 1209, Symon Faber de Ivri en 1211 [22], Aper Iuriacum juxta Hanovillam (« à Ivry près d'Hénonville ») en 1237, Milicie templi de Yvriaco (« temple militaire d'Ivry ») en 1245, Petrus de Ivriaco (Pierre d'Ivry) en 1247, Fratres ordinis milicie templi de Yvriaco in vulgassino francie en 1300, Preceptor de Yvriaco Sancti Johannis de Jherosolime en 1337, L'ospital d'Ivry-le-Temple en 1373 (allusion à la maladrerie, (hôpital pour lépreux) fondée en 1160 et détruite vers 1750), Ivry-le-Temple en 1483 [23], Ivry-la-Commanderie au XVIIIe siècle.

Il s'agit de la formation toponymique répandue de type celtique (gaulois) *Ebur-i-acum « lieu des ifs, ivaie » ou « propriété d'Éburius », anthroponyme gaulois (voir Albert Dauzat, Ernest Nègre, Xavier Delamarre, etc.).

Le déterminant complémentaire le-Temple, fait référence à l'ordre du Temple, parce qu'il s'agit d'une ancienne possession templière, il possédait à Ivry la commanderie Saint-Jacques, établie vers 1200[24].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La partie sud du village est incendiée en 1115 par les Anglais, et le village est reconstruit plus au nord, laissant excentré l'église qui se trouvait auparavant au centre du village[25]

Les Templiers ont une commanderie à Ivry vers l'an 1200, dont la chapelle est dédiée en 1266[26]. Après la suppression de l'Ordre, cet établissement devint une commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. La commanderie avait une annexe à La Villeneuve-le-Roi et des possessions à Chaumont, Liancourt-Saint-Pierre; Bléquancourt, la Gloriette, Alleré-Huillencourt, Saint-Crépin-Ybourillers, Mogneville près Liencourt-sous.Clermont[1].

Il n'en reste rien, si ce n'est le nom d'une rue du village, et une ferme a été construite à son emplacement.

Ivry disposait également d'une maladrerie, fondée en 1100 et démolie en 1750[1].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

De 1825,à 1833, la commune d'Ivry-le-Temple, instituée par la Révolution française, absorbe celle de Monts, qui retrouve almors son autonomie[27],[1].

En 1837, Ivry disposait d'une halle de marché et d'une place garnie de plantations. On y trouvait un moulin à eau. La population vivait essentiellement de l'agriculture. À cette époque, une voiture publique allait deux fois par semaine à Paris et à Pontoise[1].

La commune a été desservie de 1906 à 1933 par la ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique de Méru à Labosse du réseau des chemins de fer départementaux de l'Oise[28]. La gare sert aujourd'hui d'habitation.

L'industrie de la tabletterie s'est manifestée à Ivry par la création en 1902, par M. Paris, d'un atelier pour le travail de la nacre, appelée nacre blanche ou franche. Situé au 65 rue des Templiers, son activité cesse en 1938.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Méru[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Chaumont-en-Vexin

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Ivry-le-Temple est membre de la communauté de communes des Sablons, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Cette intercommunalité succédait au district des Sablons créé en 1992 par Saint-Crépin-Ibouvillers, Villeneuve-lès-Sablons, Lormaison et Ivry-le-Temple pour favoriser l'implantation de la fonderie Norfond (depuis EJ) et d’autres entreprises, tout en mettant en place un mécanisme de solidarité fiscale[29].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 2001 2014 Jacques Leclerc   Retraité-agriculteur
mars 2014[30]   Michel Jantolek[16]   Retraité
Mort en fonction[réf. nécessaire]
         
mai 2020[31] En cours
(au 6 juin 2023)
Catherine Herman   Agricultrice

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

La commune s'est dotée en 2011 d'une bibliothèque municipale, dite l'Ivrythèque, avec l'aide du département et de la Médiathèque départementale de l'Oise[32].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

En 2021, la commune comptait 854 habitants[Note 3], en augmentation de 18,28 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
385408424415573447448455467
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
503518506458541527463460421
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
450518496492471522502514425
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
402483506588598658647662656
2014 2019 2021 - - - - - -
693831854------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 392 hommes pour 412 femmes, soit un taux de 51,24 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
0,2 
4,0 
75-89 ans
5,9 
12,8 
60-74 ans
15,0 
18,0 
45-59 ans
18,3 
25,7 
30-44 ans
23,7 
14,1 
15-29 ans
15,7 
24,9 
0-14 ans
21,1 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Martin, restaurée après l'effondrement des voutes du chœur en 1981, est constituée d'une nef unique précédée d'un porche à colombage.
    L'église est remarquable par la corniche de son mur nord, ornée de tablettes et modillons sculptés avec beaucoup de virtuosité, datant du XIe siècle. Au XIIe siècle est construit un croisillon très débordant au nord de la croisée du clocher. Le chœur, très élevé, datait du XIIIe siècle. L'ensemble est remanié au XVIe siècle avec la création de voutes, et au XIXe siècle, avec la reconstruction de la croisée de clocher en style néogothique[38],[39].
  • Le lavoir.
  • Le pigeonnier de la ferme de la commanderie des Templiers.
  • Le golf des Templiers.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Ivry-le-Temple Blason
Gironné en croix d'argent et de gueules[40].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Méru, arrondissement de Beauvais (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 116 p. (lire en ligne), p. 54-, sur Google Livres.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Ivry-le-Temple et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Transports en commun à Ivry-le-Temple », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  15. Joseph Canu, « Usine de biogaz aux portes du Pnr : la pression monte : Les nombreux opposants ont organisé une chaîne humaine afin de protester contre l'implantation d'une usine de méthanisation à Ivry-le-Temple (60) », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  16. a et b Patrick Caffin, « Ivry-le-Temple : les habitants réclament un référendum pour l’usine de gaz », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le maire reste sur sa position. « Il n'y aura pas de référendum. Je ne le demanderai pas au préfet. » Plusieurs habitants crient alors « démission ». Michel Jantolek se braque et répond : « Je ne démissionnerai pas. Vous devrez attendre au moins quatre ans pour me voir partir ».
  17. F.C., « Ivry-le-Temple : l’unité de méthanisation revient par la petite porte : Une enquête publique sera lancée lundi sur ce projet très contesté par les riverains. La population s’était déjà mobilisée avec vigueur au printemps 2016 », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. « Ivry-le-Temple : feu vert préfectoral pour l’usine de méthanisation », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. Ivan Capecchi, « Ivry-le-Temple : les opposants à l’usine de méthanisation restent mobilisés : Deux recours ont été déposés devant le tribunal administratif d’Amiens. L’un a été étudié ce lundi. Réponse attendue sous dix jours », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. Benjamin Merieau, « Après le début de feu sur le méthaniseur de l’Oise, l’association environnementale « pas étonnée » : L’association ROSO avait déposé un recours contre la construction du méthaniseur Biometa d’Ivry-le-Temple. Et demandé une commission de suivi, en vain », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. Cartulaire du chapitre de Beauvais
  22. Dans le cartulaire de Saint Victor de Paris
  23. Dans le cartulaire de l'abbaye du Val-Notre-Dame, Val-d'Oise.
  24. Section d'archéologie du village, essai de toponymie sur Neuville-Bosc,(bulletin d'information n°4), en 1984.
  25. « Ivry-le-Temple », La destination > nos communes et églises., sur tourisme-vexin-nacre.fr (consulté le ).
  26. Section d'archéologie du village, essai de toponymie sur Neuville-Bosc, (bulletin d'information no 4), 1984.
  27. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Claude Wagner, Voies métriques en Picardie : Histoire des voies ferrés d'intérêt local dans l'Oise, Auray, Éd. LR Press, , 280 p. (ISBN 978-2-903651-74-9), p. 138-155.
  29. Sandrine Raffin, « Vent de colère contre St-Crépin : La suppression des recettes fiscales fait polémique : Le maire de Villeneuve est en colère contre son homologue de Saint-Crépin qui prive sa commune de 123 000 euros de recettes fiscales. L’orage gronde dans la commune de Villeneuve-les-Sablons, depuis que sa voisine St-Crépin-Ibouvillers a décidé de ne plus partager son foncier bâti. L’affaire est portée devant le tribunal administratif », L'Écho du Thelle, no 735,‎ , p. 4 « Le maire de St-Crépin-Ibouvillers l’informe que sa commune ne lui versera plus, comme c’était le cas depuis 25 ans, la part du foncier bâti des usines EJ et Plastiremo. La décision s’applique également aux communes de Lormaison et d’Ivry-le-Temple. (...) Christian Neveu (...) souligne que « depuis 1992, les 4 communes concernées ont organisé l’installation de la fonderie Norfond (depuis EJ) et d’autres entreprises en créant le district des Sablons, devenu en 2001 la Communauté de Communes des Sablons. Elles ont passé des conventions entre elles afin de répartir les taxes de ces entreprises. Grâce à ces dernières, la commune de Villeneuve les Sablons a pu développer ses services publics (centre de loisirs, cantine scolaire….) et réaliser des aménagements dans la commune. » .
  30. « Les maires élus et réélus avec les nouveaux conseils municipaux installés », L'Echo du Thelle, no 523,‎ , p. 12.
  31. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  32. « Une nouvelle bibliothèque à Ivry-le-Temple », Environnement magazine,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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